Le 20 novembre 2013 était la journée Mondiale de l'Enfance, le musée, ou du moins la responsable de ce musée et son équipe, ont  organisé durant cette semaine du 18 au 22, diverses animations en particuliers des ateliers avec les enfants des écoles, mais aussi une exposition ou Joselyne Zaporta expose trois nouvelles toiles, peintes pour cette occasion.
Vous pouvez retrouver tout cela et bien plus sur le site du musée.
http://www.tarbes.fr/gp/Musee-de-la-Deportation/108/0

Après avoir été très gentiment accueilli, j’ai pu me replonger dans cet atmosphère toute particulière créé par les tableaux de Joselyne et que j’apprécie particulièrement, et…  surprise!
Nathalie Padiolleau avait apporté ses poèmes de l’Ayguerote, mais aussi écrit un très beau texte dédié a cette commémoration et en phase avec les nouvelles toiles de Joselyne.
Je vous fais visiter?

Tout d’abord la première salle ou sont réunies une vingtaine de toiles.

Le grand tableau dessous a droite est de François Pellarey, décédé l’an dernier, et je retranscris le commentaire de Joselyne;

" J'ajoute juste que c'est un honneur pour moi de pouvoir accrocher mes toiles à côté du tableau de François PELLAREY que j'avais rencontré au Carmel où il exposait en 2006. J'avais beaucoup aimé son exposition : ses paysages et ses personnages si riches en couleurs. "

Puis la deuxième salle qui est en fait la bibliothèque du musée, et ou se déroulent les ateliers scolaires, on voit d’ailleurs que les enfants se sont envolés, laissant sur le métier leur ouvrage…    qui n’attend que leur retour prochain m'a-t-on dit!

Au fond de la salle les nouvelles toiles de Joselyne avec le poème de Nathalie.

C’est comme si la lumière hivernale qui peine a traverser les grandes baies vitrées, venait encore renforcer l’émotion délivrée par cette peinture

Et tout comme Nathalie, je me prends a murmurer…

Alors, quand tu t’en iras, a chacun de tes pas,
Surtout ne les oublies pas…

Je vous assure qu’ils sont bien revenus! Regardez, n’est ce pas maître Coq?

Et là, n’est ce pas Zeus lui même, le maître des cieux ?

Et de nouveau l’oiseau de feu, peut-être Igor n’avait-il pas terminé sa partition….

...c'est bien l'expression couramment employée... non..?

Et pourtant en y regardant de plus prés….